Master en Architecture
Master en Architecture
OPTION « PATRIMOINES VECUS »
Dans cette période de l’histoire urbaine, le projet se confronte aux problématiques de sites de plus en plus denses et complexes. « Bâtir la ville sur la ville », reconfigurer les espaces, revitaliser, transformer, « recycler » l’existant en proposant pour celui-ci de nouveaux usages n’apparaît plus, aujourd’hui, uniquement comme une alternative parmi d’autres mais une nécessité. Le parcours « Patrimoines vécus » a pour objectif de former des professionnels capables d’intervenir dans la conservation et restauration du patrimoine architectural et urbain, de développer des savoirs et des pratiques de conception de projet où l’étude de l’existant et de son histoire est un préalable indispensable. Ces compétences comportent une connaissance fine du milieu, raison pour laquelle les sciences humaines et sociales jouent un rôle important dans la formation, avec une attention particulière aux questions de mémoire et d’identité conviées au débat sur les processus de patrimonialisation. Dans des contextes en forte mutation, dans des « villes en train de se (re)faire », la réflexion sur ce qu’on garde du passé et ce qui sera le patrimoine de demain devient centrale dans la fabrication de l’espace habité et, encore plus, dans la démarche de l’expert en patrimoine.
Dans cette période de l’histoire urbaine, le projet se confronte aux problématiques de sites de plus en plus denses et complexes. « Bâtir la ville sur la ville », reconfigurer les espaces, revitaliser, transformer, « recycler » l’existant en proposant pour celui-ci de nouveaux usages n’apparaît plus, aujourd’hui, uniquement comme une alternative parmi d’autres mais une nécessité. Le parcours « Patrimoines vécus » a pour objectif de former des professionnels capables d’intervenir dans la conservation et restauration du patrimoine architectural et urbain, de développer des savoirs et des pratiques de conception de projet où l’étude de l’existant et de son histoire est un préalable indispensable. Ces compétences comportent une connaissance fine du milieu, raison pour laquelle les sciences humaines et sociales jouent un rôle important dans la formation, avec une attention particulière aux questions de mémoire et d’identité conviées au débat sur les processus de patrimonialisation. Dans des contextes en forte mutation, dans des « villes en train de se (re)faire », la réflexion sur ce qu’on garde du passé et ce qui sera le patrimoine de demain devient centrale dans la fabrication de l’espace habité et, encore plus, dans la démarche de l’expert en patrimoine.
Aussi, la mise au point de méthodes d’implication de tous les acteurs dans toutes les phases de projet s’avère désormais nécessaire : réfléchir sur les pratiques et les usages, avant et en même temps que l’on travaille sur la matière et les volumes qui les accueillent, permet aux communautés d’identifier ou consolider des valeurs communes autour de leur patrimoine et ouvre la voie à des synergies enrichissantes entre conservation et développement. Dans ce cadre, les pratiques artistiques interrogent la ville, son patrimoine et les manières de les produire, elles les réinventent et remodèlent. Elles peuvent, ceci est notre conviction, intervenir dans la renégociation des rapports entre les dimensions du corps et de l’urbain, et rétablir ou redéfinir l’harmonie qui semble perdue dans les grandes villes où la spéculation foncière ne joue plus en faveur de sa dimension humaine. Leurs méthodologies singulières et plurielles viennent enrichir l’approche patrimoniale, pas comme un complément mais comme élément à part entière de sa valorisation et, plus, de sa persistance.
La figure du professionnel expert en conservation et restauration proposée par l’IPP souhaite développer des synthèses efficaces des disciplines historico-humanistiques et scientifiques en réfléchissant sur les aspects et les contenus les plus innovants de la contemporanéité, tout en les accordant avec les éléments du patrimoine ancien et moderne. Ce professionnel s’intéresse aux savoir-faire locaux, aux matériaux et aux systèmes constructifs. La connaissance de ceux-ci, la gestion et la conservation du bâti visent à concevoir des projets de requalification ou de transformation compatibles avec l’existant et où l’approche bioclimatique fait partie du modus operandi.
Le cursus « Patrimoines vécus » prévoit des enseignements comprenant quatre pôles : Pôle Projet ; Pôle Matériaux et techniques de construction et conservation/restauration ; Pôle Histoire et Sciences de l’homme ; Pôle Méthodes et approches.
Tous les étudiants participent à l’atelier de démarrage et au projet collectif de fin d’année. Ils développent une dimension personnelle au sein des ateliers dans le cadre du projet collectif auquel prennent part également les étudiants de licence.
En fonction des opportunités, chaque étudiant consacrera une période d’un mois minimum à un stage dans un contexte professionnel.
Les échanges inter-écoles ou inter-universités sont favorisés par les réseaux établis par l’IPP et ses partenaires.
Les séminaires thématiques avec des intervenants extérieurs seront alternés à des séminaires internes avec un dispositif collectif de suivi des recherches et des projets des étudiants.
- Programme unique par le fait qu'il met l'accent à la fois sur l’application pratique des enseignements avec une rédaction de rapport de synthèse pour toutes les matières au programme.
- Des travaux académiques ancrés dans la pratique quotidienne, rendant ainsi l’apprentissage plus pertinent.
- Les étudiants ont la possibilité de mener un projet de recherche sur une thématique internationale et de participer aux conférences internationales sur les pratiques du développement durable.
- Au moins un voyage d’études durant le programme pour les besoins de recherches et de découvertes.
- Une autre ouverture internationale également avec l’intervention
- Rédaction d’une revue annuelle d’information et de sensibilisation en rapport avec l’architecture et le patrimoine bâti au profit de la société.
- Fréquentation du programme par des professionnels avec des activités inscrites à des horaires du soir et de week-end.
- Des travaux académiques ancrés dans la pratique quotidienne, rendant ainsi l’apprentissage plus pertinent.
- Les étudiants ont la possibilité de mener un projet de recherche sur une thématique internationale et de participer aux conférences internationales sur les pratiques du développement durable.
- Au moins un voyage d’études durant le programme pour les besoins de recherches et de découvertes.
- Une autre ouverture internationale également avec l’intervention
- Rédaction d’une revue annuelle d’information et de sensibilisation en rapport avec l’architecture et le patrimoine bâti au profit de la société.
- Fréquentation du programme par des professionnels avec des activités inscrites à des horaires du soir et de week-end.
Être titulaire d'une licence en architecture avec la mention ou une moyenne au moins égale à 12/20. Ou l'équivalent dans une discipline ou un champ d'études relatif à l'environnement construit ou dans une discipline connexe. Ou posséder les connaissances requises, une formation appropriée et une expérience jugée pertinente.
Les architectes avec un diplôme de niveau bac +5 ont l’occasion de débuter leur carrière en tant que jeune architecte. Cependant, la poursuite d’étude avec un master spécialisé ou Doctorat est une option.
Au sortir d’un Master en Architecture, les champs professionnels dans lesquels s’investissent les architectes sont multiples et variés. A titre d’exemples, sur base du parcours des Alumni de notre institut, on peut citer :
- Les pratiques de l’architecture (en indépendant, au sein d’un bureau d’architecture, d’un bureau d’études, dans une administration, un ministère,…) ;
- Les pratiques de l’architecture d’intérieur, du design, de la scénographie, de la muséographie ;
- Les pratiques de l’urbanisme, du management urbain, du paysagisme, Les pratiques de l’infographie, du graphisme,
- La pratique de l’expertise immobilière,
- Des pratiques dans le champ de la construction
- Des pratiques dans les secteurs de la culture(édition, commissariat d’exposition, critique architecturale,…)
- Les pratiques de l’architecture (en indépendant, au sein d’un bureau d’architecture, d’un bureau d’études, dans une administration, un ministère,…) ;
- Les pratiques de l’architecture d’intérieur, du design, de la scénographie, de la muséographie ;
- Les pratiques de l’urbanisme, du management urbain, du paysagisme, Les pratiques de l’infographie, du graphisme,
- La pratique de l’expertise immobilière,
- Des pratiques dans le champ de la construction
- Des pratiques dans les secteurs de la culture(édition, commissariat d’exposition, critique architecturale,…)